
Communauté
La francisation
La francisation se fait de différentes façons et pour différentes raisons au CSAP.
Article 23 de la Charte des droits et libertés
Un parent qui est allé à l’école en français au Canada et qui parle et comprend encore le français a le droit d’envoyer son enfant dans une école francophone. Voilà un résumé sommaire de ce que dit l’Article 23 de la Charte des droits et libertés canadiennes. C’est une des raisons pour laquelle il y a des écoles françaises en Nouvelle-Écosse.
Comme les écoles françaises n’étaient pas choses communes en Nouvelle-Écosse avant 1996, la règle a été étendue aux grands-parents. Donc, si un enfant a un grand-parent qui a été éduqué en français, qui parle et comprend encore le français, il a le droit d’être lui aussi admis à l’école française.
Réparation et francisation
En raison de ce qui est mentionné plus haut, il est possible que certains de nos élèves arrivent dans nos écoles et qu’ils ne maitrisent pas le français. Il est de notre responsabilité de les accompagner pour qu’ils apprennent la langue française et qu’ils puissent s’épanouir en français. C’est ce que l’on appelle le principe de la réparation.
Les acadiens et francophones de la Nouvelle-Écosse n’ont pas toujours eu accès à l’éducation en français ce qui leur a causé un préjudice. Nous sommes dans le processus de réparation afin d’assurer la survie et le développement de la langue et de la culture acadienne et francophone en Nouvelle-Écosse.
Apprendre le français pour la vie
Apprendre une langue et une culture se fait en classe mais également ailleurs dans l’école et dans d’autres activités.
C’est pourquoi dans les écoles du CSAP, il est attendu que les élèves communiquent entre eux en français bien qu’il ne soit pas possible de renforcer cette règle constamment et partout dans l’école.
Nous allons également plus loin. Des activités culturelles, sociales et sportives sont organisées dans la province et même à l’extérieur pour permettre à nos élèves de découvrir la richesse du français au pays et d’échanger avec d’autres élèves francophones.
Article 23 de la Charte des droits et libertés
Un parent qui est allé à l’école en français au Canada et qui parle et comprend encore le français a le droit d’envoyer son enfant dans une école francophone. Voilà un résumé sommaire de ce que dit l’Article 23 de la Charte des droits et libertés canadiennes. C’est une des raisons pour laquelle il y a des écoles françaises en Nouvelle-Écosse.
Comme les écoles françaises n’étaient pas choses communes en Nouvelle-Écosse avant 1996, la règle a été étendue aux grands-parents. Donc, si un enfant a un grand-parent qui a été éduqué en français, qui parle et comprend encore le français, il a le droit d’être lui aussi admis à l’école française.
Réparation et francisation
En raison de ce qui est mentionné plus haut, il est possible que certains de nos élèves arrivent dans nos écoles et qu’ils ne maitrisent pas le français. Il est de notre responsabilité de les accompagner pour qu’ils apprennent la langue française et qu’ils puissent s’épanouir en français. C’est ce que l’on appelle le principe de la réparation.
Les acadiens et francophones de la Nouvelle-Écosse n’ont pas toujours eu accès à l’éducation en français ce qui leur a causé un préjudice. Nous sommes dans le processus de réparation afin d’assurer la survie et le développement de la langue et de la culture acadienne et francophone en Nouvelle-Écosse.
Apprendre le français pour la vie
Apprendre une langue et une culture se fait en classe mais également ailleurs dans l’école et dans d’autres activités.
C’est pourquoi dans les écoles du CSAP, il est attendu que les élèves communiquent entre eux en français bien qu’il ne soit pas possible de renforcer cette règle constamment et partout dans l’école.
Nous allons également plus loin. Des activités culturelles, sociales et sportives sont organisées dans la province et même à l’extérieur pour permettre à nos élèves de découvrir la richesse du français au pays et d’échanger avec d’autres élèves francophones.