Nouvelles

Communiqué de presse
le 29 juin 2017
La Butte, Nouvelle-Écosse

Hank Middleton, membre du Conseil scolaire acadien provincial (CSAP) depuis 2008, fût réélu à la présidence de l’Association des conseils scolaires de la Nouvelle-Écosse (ASCNÉ).  M. Middleton entre maintenant dans son deuxième mandat avec l’organisme qui agit comme porte-parole provincial des conseils scolaires.  L’ASCNÉ mobilise ses membres et ses partenaires afin de sensibiliser la province à l’enseignement public et d’aider les élèves à réaliser leur plein potentiel.

Après une carrière de 33 ans dans l’enseignement à la Rive-Sud, Hank est demeuré très actif dans sa communauté, surtout auprès de l’Habitat pour l’humanité, du Musée Fort Point, de la Société Saint-Vincent-de-Paul et du Centre culturel de la Rive-Sud. Depuis qu’il a été élu au CSAP, il a œuvré sur nombreux comités. Très impliqué dans les arts, il a rédigé six comédies musicales dans des écoles de trois différents conseils scolaires, y inclut le CSAP.

Les membres et tout le personnel du Conseil scolaire acadien provincial désirent féliciter M. Middleton et le remercier pour son dévouement. 

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Contact Média

Stéphanie Comeau
Coordonnatrice des communications
Conseil scolaire acadien provincial
(902) 471-0082
communications@csap.ca

Communiqué de presse
Mercredi 31 mai 2017
La Butte, N.-É.

En septembre 2016, le Conseil scolaire acadien provincial a déclenché un examen des écoles élémentaires de Clare. Pour faire ce travail, un comité d’exploration des options (CEO) a été créé et depuis octobre, travaille assidûment afin d’arriver à une recommandation pour présentation au conseil.

Conforme avec la politique provinciale de l’examen des écoles, le Comité d’exploration des options présentera leur rapport final et une recommandation au Conseil scolaire acadien provincial lors de la prochaine réunion régulière. La réunion aura lieu le samedi 3 juin 2017 au siège social du CSAP à la Butte. Les réunions régulières du CSAP sont ouvertes au public.

Le but de cette présentation est de permettre aux conseillers scolaires de poser des questions, de discuter et de débattre l’information présentée dans le rapport final du CEO afin de rendre une décision éclairée à ce sujet. Une décision finale sera prise le 8 juillet lors de la réunion régulière du Conseil.

Pour de plus amples informations au sujet de l’examen des écoles élémentaires de Clare et des réunions du Conseil, SVP visitez notre site web.

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Contact Média

Stéphanie Comeau
Coordonnatrice des communications
Conseil scolaire acadien provincial
(902) 471-0082
communications@csap.ca

le 7 avril 2017 

Il a fallu beaucoup de temps pour que les Acadiens et francophones de la Nouvelle-Écosse puissent enfin bénéficier d’une éducation complètement en français. Le Conseil scolaire acadien provincial a été créé par la Loi le 1er avril 1996. Il est important de noter que selon l’article 23 de la Charte canadienne des droits et des libertés, un enfant a le droit de fréquenter une de nos écoles si un des parents rencontre un des trois critères cités pour la catégorie des parents ayant droit. Nous avons donc plusieurs enfants dans nos écoles qui proviennent de familles où un parent seulement est francophone. De plus, l’article 24 de la Charte permet aux gens qui ont été « victimes de violation ou de négation des droits ou libertés qui lui sont garantis par la présente charte » de faire demande pour une réparation. Ces parents ne sont pas des « Anglophones », mais plutôt des Acadiens et des francophones qui proviennent de familles assimilées au fil du temps. Dès sa création, le CSAP a fait valoir l’importance de reconnaître cet état de fait et a permis aux enfants qui ont un grand-parent (arrière grand-parent en Grandir en Français) acadien ou francophone de pouvoir se faire refranciser.

Il ne faut pas tenir pour acquis que le français est toujours la langue parlée au foyer lorsqu’un parent seulement est francophone. Selon toutes les études dans les milieux minoritaires, le 2/3 des enfants d’un couple exogame ne parlent pas français lorsqu’il arrive à l’école. Conséquemment, plusieurs enfants arrivent à l’école avec peu ou pas de connaissance de la langue. Ils sont alors considérés anglo-dominants et ont le droit à une éducation en français.

Nous sommes très conscients des défis qui se présentent dans nos écoles qui se situent en milieu minoritaire où la langue parlée à la maison n’est pas toujours le français et la langue parlée dans la communauté est l’anglais. C’est une des raisons pour laquelle nous avons mis sur pied le programme Grandir en Français. Le service de francisation Grandir en français est une initiative du CSAP qui s’adresse aux enfants âgés de 4 ans. Il contribue au développement global des enfants avant leur entrée à l’école tout en portant une attention particulière à leur développement langagier. De plus, un programme de francisation pour les élèves ayant ce besoin est en place dans les écoles du CSAP. Le secteur des Services éducatifs, responsable du développement de nos programmes d’études, travaille à assurer que la construction identitaire fasse partie intégrante de tous les programmes d’études.

Nous sommes aussi conscients que nous devons travailler en collaboration avec les parents et les communautés si nous voulons assurer la vitalité et la pérennité de la langue et de la culture françaises. Nous avons donc embauché des agents de développement scolaire et communautaire qui travaillent à créer des partenariats avec les organismes et les municipalités afin d’assurer une plus grande présence acadienne et francophone dans la communauté. Nous travaillons fort à assurer une présence acadienne et francophone

dans la municipalité. Les élèves pourront donc voir que le français n’est pas juste une langue d’école, mais une langue et une culture vivante dans la communauté.

Finalement, dès leur embauche, les enseignants du CSAP savent que nous avons tous un double mandat en tant qu’éducateurs dans un système francophone en milieu minoritaire – assurer l’éducation de nos élèves et les appuyer dans le développement de leur sentiment d’appartenance à la communauté francophone. C’est une responsabilité que nous appartient tous et avec la collaboration continue de la communauté et les parents, nous y arriverons.

Michel Comeau
Directeur général
Conseil scolaire acadien provincial

Communiqué de presse
le 4 avril 2017
La Butte, Nouvelle-Écosse

Le Conseil scolaire acadien provincial, le Conseil jeunesse de la Nouvelle-Écosse et l’Université Sainte-Anne sont fiers de lancer les inscriptions pour un grand rassemblement socioculturel pour la jeunesse qui aura lieu à l’Université Sainte-Anne du 27 au 29 avril 2017.

En effet, plus d’une centaine de jeunes se réuniront pour participer à diverses activités dans le cadre de deux événements provinciaux parallèles : Autour du feu et la Rencontre jeunesse provinciale (RJP). C’est une opportunité sans précédent de vivre de nouvelles expériences, de découvrir la culture francophone et acadienne et de former des liens d’amitié avec des jeunes de partout dans la province.

Autour du feu, qui a vu le jour pour la première fois en 2016 dans le cadre de la célébration du 20e anniversaire du CSAP, 35e du CJP et 125e de l’Université Sainte-Anne, vise à donner une opportunité aux élèves de la 9e à la 12e année du CSAP de créer des initiatives de construction identitaire et de développement communautaire.

Cette année marque la 10e édition de la Rencontre jeunesse provinciale qui a vu le jour en 2002 afin de rassembler les jeunes de niveau secondaire et leur permettre de vivre un événement culturel en français. Cette année, l’activité qui aura lieu en marge de Autour du feu, visera spécifiquement les jeunes de la 7e et 8e année dans des initiatives PAR et POUR les jeunes qui mettront en valeur le rôle de la jeunesse dans la création culturelle et l’épanouissement des communautés acadiennes et francophones de la Nouvelle-Écosse.

Les activités prévues comprennent des ateliers d’impro, de danse africaine, de percussion, de science et technologie, des arts visuels et bien plus. Il y aura des activités variées pour pouvoir s’amuser et rencontrer des jeunes de partout dans la province. Ce projet est réalisé grâce à l’appui du ministère de l’Éducation et du Développement de la petite enfance et du Patrimoine canadien.

Pour s’inscrire à une des deux événements, les élèves peuvent aller voir leur agent de développement scolaire et communautaire à l’école, ou s’inscrire en ligne au rassemblement2017.weebly.com. La période d’inscription est du 4 au 17 avril 2017 et le coût est de 40 $.

29 mars 2017

Chers parents/tuteurs/tutrices et élèves,

Comme vous le savez, le gouvernement de la Nouvelle-Écosse a mis sur pied le Conseil pour l’amélioration des conditions en salle de classe (CACSC), une initiative du contrat professionnel des enseignants de la Nouvelle-Écosse. Le Conseil travaille en collaboration avec le gouvernement de la Nouvelle-Écosse et le syndicat des enseignants de la Nouvelle-Écosse (NSTU) afin d’investir 20 millions dans nos salles de classe dans les prochaines deux années.



Ce matin, Karen Casey, ministre de l’Éducation et du Développement de la petite enfance, a annoncé qu’elle a reçu 18 recommandations initiales du Conseil pour l’amélioration des conditions en salle de classe, et a demandé au ministère et aux conseils scolaires de procéder à leur exécution. Huit des recommandations seront mises en applications immédiatement à compter du 3 avril 2017.

PowerSchool

• Les enseignants n’ont plus l’obligation de publier immédiatement toutes les notes dans PowerSchool. Ils peuvent les publier une fois par mois au minimum, selon le calendrier bien particulier établi par l’école. Les enseignants continueront de faire régulièrement le travail consistant à noter les tests et les devoirs et de fournir leurs commentaires sur ces tests et devoirs.

• Les enseignants n’ont plus l’obligation de publier une note pour chaque résultat d’apprentissage dans PowerSchool. Il faut qu’ils continuent à enregistrer les notes pour les résultats d’apprentissage sous une forme ou une autre, pour disposer des détails nécessaires pour leurs communications avec les parents et pour orienter leur enseignement.

• Les enseignants du secondaire n’ont plus l’obligation de saisir les données sur l’assiduité dans PowerSchool avant la fin de la journée. Si l’assiduité n’est pas saisie dans PowerSchool avant la fin de la journée, il fait que les enseignants en aient une version sur papier, pour pouvoir faciliter l’évacuation des élèves en cas d’incendie ou s’il y a une autre urgence.

Évaluations

• Le MEDPE a éliminé trois évaluations et examens provinciaux (sondage d’observation en lecture-écrite en 1re année, évaluation commune en mathématiques en 2e année et mathématiques préemploi en 10e année).

• L’évaluation en lecture, en écriture et en mathématiques de 8e année n’aura pas lieu cette année.

• Les examens de 10e année ne seront pas obligatoires cette année, mais resteront à la disposition des enseignants qui souhaitent les utiliser.

• Le MEDPE a mis en place un moratoire de cinq ans sur les évaluations ou examens adoptés à l’initiative du conseil scolaire ou de la province. Ce moratoire exclut les propositions présentées au CACSC et approuvées par le conseil.

Sincèrement,

Michel Comeau
Directeur général